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Fermeture du FORUM Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] 1330857165 Après mûre réflexion, nous avons décidé de fermé le forum pour cause d'inactivité. Malgré la pub nous n'avons pas réussi à lancer notre bébé. Après 4 mois d’existence, St Lawrence ferme ses portes. Vos admins adorés vous ont laissé un petit message alors n'hésitez pas à laisser votre emprunte sur le Livre d'or ICI Merci à tous pour l'aventure. Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] 3832313845
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 Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]

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Carolyn Widding

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Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] _
MessageSujet: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeLun 11 Juil - 8:44

Parfois je me dis que j'ai tors de rester si passive,
Mais toi tu me regarde, moi je te dévore
Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour
Mon ami mon amant mon amour et bien plus encore
Alors, on se raisonne c'est pas la fin de notre monde
Et à tord on se questionne encore une dernière fois




    Rude journée, et il était tard sur New York alors que je portais ma main a mes yeux pour regarder ma montre je ne fus pas plus étonné que ça qu’elle me montre 2h00. Normalement j’aurais du dormir depuis longtemps en plus j’avais cours demain matin mais la journée avais été rude pour une des premières journées par ici et j’avais du mal à m’en remettre et a me décider de rentrer. Surtout que rentrer dans ma chambre signifierais de voir ma colocataire la fameuse : Paige et ça ne m’enchantait pas du tout après notre crêpage de chignon de ce matin, pourtant ce n’était pas moi. Je ne faisais pas ce genre de chose mais j’étais a cran en plus avec ce qu’ils s’étaient passé avec ce professeur heureusement que notre rencontre de cet après midi c’était bien passé et nous avions pu parler. Et heureusement aussi que j’avais pu voir un instant ma meilleure amie Erin mais maintenant j’étais seule, errant dans les couloirs de ma sections fille, la plupart des filles dormais. Quoi que certaines très studieuse était encore a la bibliothèque, la bibliothèque était ouverte toute la nuit ce qui nous permettait d’y aller quand on voulait. J’aurais pu y ‘aller là mais non, je n’en avais aucune envie, je n’avais plus envie de rien tout me dégoutait.

    Alors je me mis à penser, tout en continuant d’errer dans les couloirs mais j’arrivais alors aux grands escaliers qui menais a l’entrée. Ne sachant trop ou aller et ayant déjà fait 2 ou 3 fois les couloirs des filles je décidais alors de descendre, je ferais un tour autour des casiers ou s’il le faut je serais plus proche de la sortie. C’est vrai, peut être qu’en fait je m’étais sur estimer, peut être qu’en fait je n’étais pas fait pour avoir ce diplôme et que je ne devais pas aller a l’école. Tout me paraissais bizarre, plus rien n’avais de sens autour de moi et ça je m’en rendis compte alors que je posais mes miens sur le grand tapis de l’entrée. Les lumières étaient toute allumé en bas, comme je les dis certains courageux travaillais encore a cet heures là et sa aurais du être mon cas, pourtant j’avais toujours dans mes mains mon livre de littérature puisque je n’étais pas retourné dans ma chambre entre ma visite chez Erin et mon arrivée a l’entrée mais je n’avais aucune envie de le lire. Finalement je soupirais et me décidais à faire quelques choses. Je rentrais furtivement dans la bibliothèque et jetait un coup d’œil plein d’intello, je fis un sourire a la bibliothécaire de nui avant de m’avancer vers les livres. Je connaissais très bien le personnel de cet endroit étant donné que c’était un de mes préférés et un lieu ou j’étais plus que souvent. A tout mon temps libre presque pour être honnête.

    Alors que je faisais le tour, de droite à gauche, devant en arrière pour regarder les livres lesquels pourrais je emporter et lire et rendre demain puisque je saurais pertinemment que je l’aurais déjà finis. Au bout de quelques minutes je me décidais à prendre le livre de math sup. En même temps avec ce qu’il m’était arrivée avec ! Le prof de math c’était sur qu’il ne me ferait pas de cadeau et puis je préférais m’avancer dans les études, au moins lorsqu’un jour arrivée en cour on parlait de ce chapitre je l’avais déjà lu et je n’étais pas perdu. Très rapidement, j’arrivais devant la bibliothécaire qui me demanda les banalités « ça va ? Que fait tu réveillée a cet heure ci » etc. Très vite je parlais avec elle et m’en allais tout en retournant vers le hall, je ne pu attendre et décidais d’ouvrir mon livre ce n’était pas comme la journée les gens devais faire attention ou il marchait il y avait moins de monde donc s’ils me voyaient arriver ils s’arrêteraient mais c’était justement en me disant ça que je me dis que moi aussi je devais faire attention. Je me décidais de relever la tête et eu juste le temps d’apercevoir son visage avant de tomber a la renverse en arrière. Bam sur les fesses ! Et mes deux bouquins, par terre. Je secouais la tête pour reprendre mes esprits, et très vite je relevais la tête. C’était lui il était là, au début vraiment je me dis que j’avais du tomber sur la tête, le monde n’était pas aussi petit pour que je tombe sur lui alors je clignais des yeux mais il était toujours là. Andrew était là ! Je ne sus quoi dire je restais bouche bée devant lui mais finalement je réussis à bégayer :


    - "Pardon... je, je suis vrai, vraiment désolé."




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Andrew P.Jefferson
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Andrew P.Jefferson

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 12 Juil - 20:59

Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] 608079taylortroian

L'amitié, ça ne s'oublie pas !
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La rentrée avait eu lieu quelques jours auparavant et Andrew n’en revenait toujours pas des nouvelles règles mise en place. Comment ça les garçons et les filles ne devaient plus étudier ensemble ? Comme si ça perturbait la concentration … euh, en y réfléchissant bien, ils n’avaient pas tord. Andrew passait la plupart des heures de Maths à mater les filles qui se trouvaient devant lui. Mais c’était l’an dernier ; cette année il allait devoir se contenter d’écouter la prof ou alors de bavarder avec son meilleur ami. Lui qui avait passé tout l’été à rêver de sa rentrée scolaire ! Lorsqu’il était rentré dans le Michigan, il n’était pas beaucoup sortit de chez lui, il n’avait presque plus d’ami là-bas … ils étaient ici ses vrais amis, ses collègues de football. Mais parfois ; lorsqu’il revenait dans sa ville natale, il repensait à la jolie brune qui avait été sa meilleure amie durant des années, Carolyn. Mais celle-ci devait l’avoir oublier, surement même ; alors il se contentait d’y penser.

2h du matin ; couloir des dortoirs masculins.

Andrew s’était réveiller en sueur, il regardait de droite à gauche, mais il était bel et bien dans sa chambre d’étudiant. Cela lui arrivait fréquemment ses derniers temps, toujours le même cauchemar. Il était chez lui, et sa mère lui apprenait qu’elle allait se marier avec son nouveau petit-ami ! Il n’arrivait pas à l’accepter… il n’arrivait pas à comprendre qu’elle avait refait sa vie ; et surtout avec ce mec stupide ! Il décida de sortir prendre l’air ; ne voulant pas réveiller son colloc’ de chambre, il enfila son short de basket et un tee-shirt. Là, marchant dans le couloir, essuyant par moment son front qui continuait de transpirer. Ce rêve était débile ! Pourquoi se réveillait-il en sursaut comme ça ? Surement parce qu’a chaque fois son père réapparaissait ! Le front collé à la vitre du couloir, il aperçut une silhouette féminine brune. Clignant des yeux, il cru qu’il rêvait encore. « Caro » se dit-il ? Il n’en était pas sur, la dernière fois qu’il l’avait vu s’était il y a deux ans… mais elle ne l’avait surement pas vu … c’était au supermarché et la mère d’Andrew n’avait pas arrêté de lui dire « regarde c’est la petit Widding, vous étiez bien ami, ». Elle ne pouvait pas avoir tant changé en 2 ans.

Alors bizarrement, il se mit à courir en direction de la bibliothèque, là ou il l’avait vu. Cette école était tellement à cheval sur les réussites de ses élèves que la bibliothèque était ouverte jusqu'à 3h du mat ! Et c’était du Carolyn tout craché d’y être à une heure pareille ! Alors il dévala les escaliers 4 par 4, et longea le couloir qui menait à la bibliothèque … seulement il oublia de ralentir, et percuta la jeune femme en question. Il resta debout, vu sa corpulence, il ne bougea pas d’un poil mais la pauvre jeune fille tomba sur les fesses. Elle était aussi fine qu’une brindille ; il lui tendu la main pour l’aider à se relever. Et ramassa ses livres. Elle s’excusa ? De quoi ? C’était lui qui était arrivé comme un dingue !

« Carolyn ? Non, c’est de ma faute. Je t’ai aperçut là haut ! »

Il désigna du doigt la fenêtre du dortoir des garçons qui surplombait la cour, et donnait sur la porte de la bibliothèque. Puis retourna son regard sur elle.

« Je voulais vérifier que c’était bien toi … que je ne rêvais pas… »

Il baissa la tête un peu honteux de leur retrouvaille, cela faisait pratiquement 5 ans qu’il ne s’était pas adresser la parole.
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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMer 13 Juil - 9:01

    J’étais par terre, je venais de me prendre un choc tel que mon corps ne répondais même plus de moi il était partit en arrière pour se poser sur le carrelage froid de l’entrée. Mes mains de chaque côté de mon corps j’essayais de garder les idées clair. Comme je le disais en relevant le regard je vis tout de suite qui était devant moi, Andrew, mon ancien meilleur ami, lui-même qui m’avait laissé alors que nous étions si jeunes. D’un coup une vague de souvenir me submergea, je cru même entendre au loin des rires d’enfants et si j’analysais bien c’était lui et moi. Nous avions tellement l’habitude de rire, de tout et de rien, on était complémentaire, on aimait faire les mêmes choses, et surtout les mêmes bêtises. Combien de fois nos parents nous avais récupérer en criant chacun de leurs côté qu’on ne se verrait plus mais le lendemain c’était pareil. Même nos parents savaient pertinemment qu’ils ne pouvaient nous séparer. Je croyais dure comme fer que rien ne pouvais nous séparer, mais le temps en décida autrement. Ou ce fut plutôt lui qui en décida autrement a mon sujet. Un matin alors que je me réveillais toute pressé d’aller le retrouver je fus bien étonner de voir seulement la mère d’Andrew qui m’annonça qu’il était partit. Partit ? Mais partit ou ? Impossible d’obtenir de réponse et ce n’était pas du haut de mon jeune âge que j’aurais pu savoir quelque chose. Je perdais tout en même temps, mon ami, mon meilleur ami même, mon frère, et surtout celui que petite j’étais certaine d’épouser un jour. Papa disais toujours que je serais un bon partie pour sa famille et qu’il en serait un très bon pour la notre aussi mais rien ne se fit et il m’abandonna. A partir de ce jour, aucun garçon ne pu m’approcher, j’ai eu des histoires certes mais rien de bien intéressant jamais je n’ai aimé quelqu’un plus que j’ai aimé Andrew. Après ça, plus jamais je ne l’avais vu mais là devant moi j’étais sur et certaine que c’était lui, il n’avait pas changé. Toujours ce visage aussi angélique, et cette mou si mignonne. Il était toujours aussi beau, grand et ténébreux exactement l’homme que je pensais qu’il serait d’ici quelques années et je ne m’étais pas trompé.

    En pensant a tout ça, je ne me rendis même pas compte que j’étais toujours par terre, rapidement je m’excusais alors que la main d’Andrew se tendais vers moi, je regardais d’abord ses yeux avant de prendre sa main. J’étais ailleurs, le monde était si petit. Ce fut comme ça qu’il m’aida à me relever, et a peine je fus debout qu’il se baissa a nouveau pour ramasser mes livres et me les tendres. Je les pris rapidement et les serrais contre moi, ce n’était pas de ma faute j’étais sous le choc. Je balbutiais un petit merci avant qu’il ne commence. « Carolyn ? Non, c’est de ma faute. Je t’ai aperçut là haut ! » Là haut ? Il m’avait aperçut la haut ? Ce qui voulait dire qu’il savait déjà que j’étais là et puis il se souvenait de moi, Carolyn il se souvenait de mon prénom. Se rappelais t’il aussi de tout nos moments et de comment il les avait gâché en partant. Ce fut après cette pensée que mon regard d’incompréhension se changea en un regard gênée. Je ne savais pas quoi faire, ni quoi dire. J’étais là bloqué devant lui, c’est vrai que j’avais imaginé ces retrouvaille depuis bien longtemps mais pas a ce point là. Voyant que je ne disais toujours rien il enchaina. « Je voulais vérifier que c’était bien toi … que je ne rêvais pas… » Un rêve ? Non il ne rêvait pas ça c’était sur j’étais belle et bien là et ce fut le moment pour moi de parler. Je me mordais alors la lèvre avant de répondre d’un ton le plus possible détaché de tout ça.


    - Andrew ! et bien non tu ne rêve pas c’est bien moi.

    Non mais quelle gourde ! Je n’avais pas trouvé mieux à dire, et ou était le mal de laisser sortir ses sentiments dans de pareilles circonstances ? Mais J’avais appris a me détaché des choses, a ne pas les faires m’atteindre, même avoir couché avec un professeur ne m’avais pas plus bouleversé que ces retrouvailles. Je devais dire quelques chose, qu’il ne s’en aille pas, pas encore une fois. Qu’il ne m’abandonne pas encore. Soudain, ce ne fut plus ma tête qui me faisais avancer, en même temps elle était tellement pleine de question je décidais alors d’agir. D’un coup je m’approchais de lui et le prit dans mes bras, sans même lui demander, sans même savoir ce qu’il en penserait. Au pire il me rejetterait et alors tant pis ? Qui as dit que ça tuais la honte ? Je m’en fichais, il était là pour l’instant je ne savais pas pour combien de temps alors je voulais le serrer fort, pour que ce moment ne s’arrête jamais. Il avait la même odeur qu’autrefois, et lorsque dans ses bras j’étais c’était comme si, on avait tout retrouvé, comme si on ne s’était pas quitté, comme si rien de mal ne pourrais m’arriver. Mais c’était faux, ce n’était qu’une impression et je le savais très bien. Doucement je lui murmurais.

    - Je suis tellement contente de te voir Andrew, c’est … Je n’arrive pas a y croire. Je croyais que tu ne m’aimais plus, que j’avais fait quelque chose de mal ? Je croyais que jamais plus je ne te verrais pour te dire tout ce que j’avais à te dire.


    C’est sur ça faisais un peu pathétique et pour ça je me de laisser entrevoir plus de mon image je m’étais déjà bafoué en le prenant dans mes bras et en lui murmurant ses mots. Je relâchais rapidement notre étreinte, serrais encore plus fort mes livres et recula d’un pas. Il ne devait pas me faire du mal encore une fois, il revenait pour quoi ? Pour repartir après ? Non ! Je ne voulais pas, déjà mon père m’avais abandonné, je ne voulais plus être abandonné. Rapidement je lui annonçais.

    - Je suis désolé, mais faut qu’on reparte chacun de notre côté c’est mieux.
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeLun 18 Juil - 10:57

Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] 608079taylortroian

L'amitié, ça ne s'oublie pas !
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Andrew avait un passé douloureux, peu de personne était au courant. Lorsqu’il était à St Lawrence, il oubliait ce qu’il vivait chez, ce qu’il avait vécu. Seul son meilleur ami savait ce qui lui pesait sur le cœur. Mais retrouver Carolyn ici, lui faisait l’effet d’un électrochoc. Elle avait été un élément moteur de son passé. Même si a cette époque il n’avait que 12 ans tous les deux, le jeune en était fou amoureux, mais il avait peur que ce ne soit pas réciproque … alors il ne lui en avait jamais parlé. Puis il y a eu cet évènement, le décès de son père et Andrew quitta l’école et avec le cœur brisé Carolyn. Il aurait pu lui parler, il aurait dut aller la voir et tout lui expliquer ; mais tout allait si mal chez lui. Et les mois avaient passé et il ne savait pas comment revenir vers elle. Alors ces retrouvailles étaient peut être l’occasion pour lui de tout lui expliquer … de reprendre là ou ils en étaient.

Le jeune homme l’aida à se relever puis lui tendu ses livres qu’elle avait éparpillé par terre. Andrew avait l’impression d’être perdu, et son coté « timide » reprenait le dessus. C’était souvent le cas quand il était seul en face d’une fille … pourtant c’était différent avec Carolyn, ils avaient vécu tant de chose dans leur enfance ? Mais elle avait bien changé, aujourd’hui, elle avait un corps de femme, et qui plus est, elle était très belle. C’est alors qu’elle coupa le silence ; et l’action qui suivit étonna le garçon. Elle le prit dans ses bras ; apparemment cette séparation l’avait autant touché que lui. Il passa ses bras musclé autour de la jeune femme et la serra dans ses bras. Andrew posa sa tête sur l’épaule de la jeune femme, ses cheveux bruns lui chatouillaient un peu les narines. Là il se sentait bien, ils auraient pu rester des minutes ainsi, cela ne l’aurait pas déranger. Mais la jolie brune s’écarta peu à peu de lui. Ses confidences touchèrent au plus haut point le beau brun ; mais les paroles qui suivirent le chamboulèrent. Pourquoi après lui avouer qu’il lui manquait et qu’elle avait tant de chose à lui dire, pour finir par lui demander de s’éloigner d’elle. Il resta un peu statique, et finir par répondre.

« Mais Carolyn… J’ai cru que tu étais heureuse de me revoir. Pour ma part c’est le cas, sinon je ne serais jamais venu. Pourquoi ne veux-tu pas de moi ? »


Il se stoppa un instant, puis se rapprocha de la jeune femme ; son cœur battait la chamade. Revoir son amour d’enfance ne le laissait pas insensible. Il lui tendu la main, et espérait de tout son cœur qu’elle la saisisse.

« Moi aussi j’ai tellement de chose à te dire. Tellement de fois j’ai voulu courir chez toi pour te retrouver… oublier ce qui se passait chez moi ; et même m’enfuir avec toi. Mais après mon départ de l’école, j’ai pensé que tu m’avais certainement oublié … que tu avais un nouvel ami. »

La main toujours tendu en direction de la jolie brune, et seulement à quelques centimètre d’elle, Andrew espérait qu’elle lui donnerait une nouvelle chance. Une nouvelle amitié, ou alors ils devront s’éviter toute l’année ; en même temps avec cette nouvelle règle de mixité, ils n’auront pas de mal.

« Si c’est ce que tu veux, alors je t’éviterais, tu ne sauras même pas que je suis ici. »


Il resta immobile. Après tout à quoi s’attendait-il ? Qu’ils reprennent leur amitié comme si de rien n’était ?

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Carolyn Widding

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Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] _
MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 19 Juil - 19:04

    Le temps était passé, j’avais grandit maintenant et les souvenirs d’enfant j’avais fait en sorte qu’il reste loin, le plus loin possible de mon présent. Il valait mieux d’ailleurs sinon j’aurais eu beaucoup de mal a avancer.
    • Andrew : Ecoute ! Ecoute ! Arrête de rigoler !
    • Carolyn : Mais ce n’est pas de ma faute tu me fais rire avec ton nez rouge au milieu de la figure.
    (Andrew s’approcha de Carolyn et l’a pris dans ses bras alors qu’elle riait encore. Il lui murmura)
    • A : Jamais je ne te laisserais je te le promets.
    • C : C’est vrai tu me le promets ?
    • A : Bien sur, je t’aime très fort Carolyn.
    Cétait un moment que je me remémorais souvent, j’aimais me rappeler cette douce nuit qu’on avais passé tous les deux dans notre cabane au fond du jardin de chez Andrew. Cela devais être à peu près une semaine avant qu’il ne s’en aille et après ça je ne pouvais plus croire en ses mots, je ne pouvais plus croire en lui. Je m’étais longtemps demandé si c’était de ma faute s’il était partit, ou si c’était autre chose mais je m’étais toujours dit que s’il avait ne serais ce que voulu me rattraper il l’aurait fait en tant voulu moi je n’’avais jamais changé d’adresse j’étais toujours là a l’attendre sur le perron de ma porte. Pourtant je ne pouvais enlever mon regard de sur lui il était comme avant, mais en plus grand et en plus beau c’était un homme.

    D’un coup j’étais un peu partis en vrille, je l’avais pris dans mes bras et il avais passé ses bras musclé autour de moi, dans ses bras je me sentais forte, en sécurité. Comme s’il n’y avait plus que lui et moi. Comme si on ne s’était jamais quitté. Je sentis alors le souffle chaud d’Andrew sur ma nuque ce qui me fit frémir jusqu'au orteil mais ce qui me fit aussi retrouver mes esprits. Du coup d’un coup je m’étais écarté, et je ne pouvais pas, risquer de souffrir encore ce n’était pas possible j’avais eu trop de mal a avancer ce n’était pas possible. Alors que j’essayais de le fuir je vis sont air statique et secoua la tête comme si tout ceci était improbable, je mettais alors la main a mes cheveux et les attachais rapidement en une queue de cheval, il faisait chaud, très chaud« Mais Carolyn… J’ai cru que tu étais heureuse de me revoir. Pour ma part c’est le cas, sinon je ne serais jamais venu. Pourquoi ne veux-tu pas de moi ? » Annonça t’il. La fin de sa phrase me fit comme un choc, c’est moi qui ne voulais pas de lui ? Mais ce n’était pas moi qui l’avais abandonné quelques années plus tôt. Je ne savais même pas quoi répondre mais je n’eus pas à le faire puisqu’au moment où j’essayais de trouver quoi dire il enchaina tout en me tendant la main. « Moi aussi j’ai tellement de chose à te dire. Tellement de fois j’ai voulu courir chez toi pour te retrouver… oublier ce qui se passait chez moi ; et même m’enfuir avec toi. Mais après mon départ de l’école, j’ai pensé que tu m’avais certainement oublié … que tu avais un nouvel ami. » Un nouvel ami, il pensait que j’avais un nouvel ami ?! Je n’avais jamais eu personne d’autre que lui, personne n’a jamais pu me faire chavirer le cœur autant que ce beau brun devant moi. Je ne pu m’empêcher de plonger de nouveau et je sentis alors les larmes me monter aux yeux. Je sentis une larme couler mais j’essayais de rester forte, de montrer que j’étais devenue quelqu’un plus une enfant mais il était vrai que j’étais toujours aussi émotive et là en l’occurrence c’était beaucoup d’émotion. Alors qu’il vit que je ne répondais pas mais qu’il gardait sa main vers moi il enchaina rapidement : « Si c’est ce que tu veux, alors je t’éviterais, tu ne sauras même pas que je suis ici. » Puis il resta là à me regarder, je devais prendre une décision. Il avait toujours la main tendu. J’aurais pu le prendre facilement mais quelque chose m’en empêchais et finalement ce fut le mi colère, mi peine qui l’emporta.


    - Mais tu ne comprends donc pas Andrew ? Commençais-je. Je ne peux pas ! Et tu ne peux pas arriver comme ça et me demander de venir avec toi. Tu pense à moi un peu ? Et ma peur que tu t’en aille encore tu y pense ? Je ne crois pas non !

    Je commençais alors à prendre ma respiration mais tout n’était pas sorti. J’avais tellement de chose à dire,

    - J’aimerais tellement Andrew, continuais je. Tu ne sais même pas comme j’aimerais prendre ta main tout de suite et qu’on s’en aille. Mais je ne peux pas, j’ai tellement souffert de ton départ je ne veux plus revivre ça. Je t’aimais tellement, je n’ai jamais pu aimer après toi j’arrive seulement a m’en sortir alors je t’en prie...

    Doucement je commençais alors a me calmer dans mon coin un peu de pleur, en plus il était tard il faisais j’aurais pu aller me coucher mais je savais que je ne pouvais pas rester dans cet école en sachant qu’il était là et que je ne lui parlais pas. Je me décidais alors, je pris sa main et m’approcha de lui pour le prendre une nouvel fois dans mes bras en le serrant fort tout en gardant sa main dans la mienne. Je voulais comme être sur qu’il était bien là, que je ne rêvais pas, que je ne faisais pas n’importe quoi et que mes sentiments ne s’emballais pas pour rien. Calmement je murmurais.

    - Alors je t’en prie, je sais très bien que te sachant ici je ne peux pas t’éviter mais alors ne me laisse plus, ne m’abandonne plus, ne me fait plus de mal.

    On aurait pu les prendre pour des fous, ou la prendre pour une folle. Mais seule la personne qui connaissait leurs liens d’autrefois pouvait comprendre ce qui se passait aujourd’hui. Comme deux âmes sœurs qui se retrouvent.
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMer 20 Juil - 16:06

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L'amitié, ça ne s'oublie pas !
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La vie nous réserve parfois tant de surprise, mais parfois aussi des déceptions. Là ce soir ; il se demandait si il ne rêvait pas ? Si le fait d’avoir revu Carolyn n’était pas le fruit de son imagination… après tout il avait beaucoup pensé à elle durant ses vacances chez lui dans le Michigan. Mais cela en était presque impossible, puisqu’elle était bien là ; devant lui en chair et en os. Elle était même encore plus belle que la dernière fois qu’il l’avait vu. Et puis celui-ci ne pouvait pas être un rêve ; le pourquoi ? Parce qu’Andrew n’avait pas rêvé de retrouvailles pareilles à celle qui venait de se produire. Il avait tant espérer retrouver la jeune femme, et reprendre leur amitié là où ils l’avaient laissé. Mais Carolyn ne le voyait pas de son ton là… elle avait souffert de son départ ; plus que le jeune homme ne l’avait pensé. Il resta face à elle, espérant qu’elle lui donne un peu plus d’explication … sur le retournement de la situation.

Andrew tenta de regarder la jolie brune dans les yeux, il voulait comprendre. Le visage de Carolyn semblait triste ; pourtant leur retrouvaille aurait dut être joyeuse, non ? Puis ses lèvres se mirent à bouger ; le jeune homme écouta attentivement la jeune femme. Certaines phrases marquèrent l’attention d’Andrew « Et ma peur que tu t’en aille encore tu y pense ? ». C’était donc ça, elle le voyait comme un lâche ; comme celui qui était partit sans donner signe de vie. Effectivement, Caro ne pouvait pas lui pardonner si facilement, c’était logique. Puis elle enchaina, le reste fut encore plus violent pour le jeune femme qui laissa échapper une larme « J’ai tellement souffert de ton départ je ne veux plus revivre ça. Je t’aimais tellement, je n’ai jamais pu aimer après toi j’arrive seulement a m’en sortir alors je t’en prie... ». Il ne s’était pas rendu compte que son absence avait fait souffrir la petite fille de 12 ans qu’il avait abandonné. Elle l’aimait ? Lui aussi à cette époque… et encore peut être aujourd’hui au fond de son cœur.

Et finalement, elle saisit la main du jeune homme et vint à nouveau se blottir contre lui. Andrew se sentait mal vis-à-vis d’elle… de ce qu’il avait fait sans vraiment y faire attention. A cette époque, il avait autre chose en tête ; même si Carolyn aurait pu l’aider. Il passait ses bras autour d’elle pour la réconforter, et pour la rassurer. Puis enlacer dans les bras l’un de l’autre, Andrew lui caressa le dos et ajouta.

« Je te le promet, je ne partirais plus. Aujourd’hui je ne dépends plus de personne … je fais mes choix seul. Et toi, tu en es un. Je ne veux plus jamais qu’on se sépare. »

Le jeune homme était sincère ; car il avait effectivement prit la décision de diriger sa vie… et ne plus laisser sa mère sans charger. Il s’écarta un peu de Carolyn, puis releva son menton d’une main :

« A cette époque, je n’avais que 12ans… le décès de mon père m’a bouleverser… je me suis renfermer sur moi-même. Et puis il y avait ma mère… elle s’enfermait dans sa chambre et buvait des litres d’alcool. J’ai du m’occuper de moi, d’elle… j’ai oublié qu’il y avait un monde à l’extérieur ; même si je ne t’ai pas oublié, …toi. »

Son regard plongé dans celui de la jeune femme, Andrew se sentait un peu intimidé par elle. Son cœur battait à tout rompre. Les yeux brillants d’avoir verser quelques larmes, il avait le sourire de la retrouver.

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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMer 20 Juil - 16:31

    Bon après ce dramatique remue-ménage je commençais un peu à me calmer. J’étais blottit dans ses bras chaud, rien ne pouvais m’atteindre. Je fermais les yeux un instant alors que ni lui ni moi ne parlais. Nous ne parlions plus, nous profitions c’est tout, profiter de nos retrouvailles. J’avais beaucoup espéré le revoir, j’imaginais autrefois dans ma chambre tard le soir quand je n’arrivais pas à dormir qu’il viendrait frapper a la fenêtre de ma chambre ou parfois quand maman m’appelais alors que j’étais dans ma chambre et qu’elle me disait que quelqu’un était là pour moi aussitôt j’y croyais, je souriais je pensais que ma mère m’avais fait la surprise de faire revenir Andrew mais a chaque fois que je descendais ce n’était pas lui. Andrew n’était plus là, il était partie et j’avais beau imaginer des retrouvailles je n’imaginais pas qu’elles seraient comme celle là et surtout je ne les imaginais plus autrefois j’étais une enfant lorsque je pensais que je pourrais le revoir un jour mais j’avais grandit et jamais depuis au moins 2 à 3 ans je ne m’était dit qu’un jour je reverrais Andrew. Pour moi il était quelque part dans le monde très loin. Enfin bref, Andrew me retira rapidement de mes pensés lorsqu’il m’annonça : « Je te le promets, je ne partirais plus. Aujourd’hui je ne dépends plus de personne … je fais mes choix seul. Et toi, tu en es un. Je ne veux plus jamais qu’on se sépare. » Il me le promettait ce n’était pas la première fois mais je pouvais me risquer à le croire lui, quelque chose me disais qu’il ne me laisserait plus qu’il ne mentait pas du moins je l’espérais. Il me dit même que j’étais son choix, et que personne ne prendrais de choix pour lui dorénavant. Je souriais alors et toujours blottie dans ses bras murmura un merci.

    Doucement, Andrew pris ma tête entre ses mains et releva mon menton d’une seule main pour que nos regard soit au même niveau. Je pouvais voir dans ses yeux de la peine et de la souffrance, je sentais déjà comme avant que ce qu’il allait me dire ne devais pas être très facile a dire mais il commença. Il se confia alors à moi. Son père était mort, sa mère était une alcoolique, il c’était occupée d’elle il ne m’avait jamais oublié. Tout d’un coup je me sentais totalement sotte, moi qui toutes ces années faisais tournée les choses autour de moi alors qu’il souffrait bien plus que pour lui les choses était bien pire et il n’avait même pas pu se confier a moi je n’étais pas là. Quoi que n’oublions pas que c’est lui qui était partit quand même. Il avait son regard plongé dans le mien, je lui fis un sourire comme j’en avais rarement fait a des garçons, je remarquais que ses yeux était brillant il avait du verser un peu de pleurs mais il était fort et ne montrait que ce qu’il voulait.


    - Ton père es mort ? bégayais je, et ta mère … Mais pourquoi Andrew ? Pourquoi tu n’es pas venus m’en parler j’aurais été là pour toi tu le sais j’aurais tout fait pour t’aider. Oh mon dieu, ta mère doit être dans un état pourtant quand je l’ai vu elle ne m’avait rien dit…

    Mes paroles se confondais un peu, j’en apprenais beaucoup en un rien de temps. Doucement je lui pris la main en ajoutant : « suis-moi ». Je pris donc sa main et l’entraina avec moi dehors rapidement, je m’avançais vers le premier banc et m’asseyais dessus en lui faisant signe de s’asseoir lui aussi. Il faisait froid devant, malgré le haut toit du campus le vent était près d’eux, n’étant plus proche de Andrew et l’euphorie des retrouvailles étant redescendu je frissonnais d’un seul coup je ne m’attendais pas a ce froid mais je fis comme si de rien était je voulais rester avec lui froid ou non. J’apportais alors mes mains à mes bras tout en les frottant pour me réchauffer un peu en disant.

    - Tu m’as tellement manqué Andrew, je ne me doutais pas de ce qu’il se passait si seulement j’avais su. Je te jure j’aurais compris.

    Je repris une bouffée d’air, et ajoutait

    - A ton départ, tout était si dur … Je me suis plongée dans les études, c’est sur que niveau professionnel j’ai réussis mais j’ai jamais eu d’autre amis. Quoi que je n’aie jamais été vraiment sociable avouons-le.

    Je lui lançais un petit sourire essayant de détendre un peu l’atmosphère.

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeLun 25 Juil - 19:17

Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] 608079taylortroian

L'amitié, ça ne s'oublie pas !
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Andrew ne voulait pas gâcher leur amitié à nouveau, il adorait Carolyn et leur lien était si fort à cette époque. Si seulement cela pouvait redevenir comme avant, Andrew manquait sincèrement d’attache, de personne à qui se confier… Il y avait son meilleur ami, mais cela n’avait jamais été si intense face à l’amitié qu’il partageait avec Caro. Ils n’avaient peut être que 12 ans à ce moment là, mais jamais on ne retrouve une amitié d’enfance… le pourquoi ? Parce que c’est là qu’on apprend la vie, qu’on découvre l’autre, la nature … Carolyn avait été sa première meilleure amie, mais aussi son premier amour ! Il lui arrivait souvent de dessiner des cœurs sur ses cahiers, un A & C entourer. Bref, ce sont les premiers sentiments, parfois les plus intenses ! Il est donc normal que l’on ne l’oublie pas même quand des problèmes jaillissent comme ceux que le jeune homme à connu.

Bien sur, Carolyn semblait étonnée des faits que lui conter Andrew, et pourtant c’était la vérité. L’enterrement du père d’Andrew avait été rapide et discret… ils n’avaient pas beaucoup d’argent et peu d’ami dans le Michigan. Et puis Andrew suivait des cours par correspondance afin de tenir le niveau de scolarité correct et à ses 15 ans, il a été envoyé dans un lycée privé à l’autre bout des Etat Unis afin qu’il fasse du sport … c’était d’ailleurs grâce à cette école que St Lawrence l’avait remarqué ! Grâce à ce destin qu’il retrouvait Carolyn ici ! Il avait versé quelques larmes discrètes, aujourd’hui il était fort ; il ne voulait plus se montrer faible comme autrefois ! Puis elle parla de sa mère, elle l’avait vu récemment … effectivement elle s’en était très bien remise !

« En parlant de ma mère, aujourd’hui elle est en pleine forme ! A la première minute où j’ai mit les pieds dans une école privée, son nouveau copain à débarquer … et pour dire, ce mec est un débile ! Je ne le supporte pas ! Moins je les vois, mieux je me porte ! »

Puis Carolyn me fit signe de venir m’assoir près d’elle sur un banc. Heureusement qu’il était tard, et que la plupart des surveillants dormaient … car les relations filles/garçons étaient très surveiller depuis la rentrée ! Andrew vit la jeune fille se frotter les bras, elle avait surement froid… alors il passa son bras autour d’elle afin de la réchauffer.

« Je sais ; mais j’étais dans un autre monde. Et ensuite, ma mère m’a collé dans une école privée, je ne revenais qu’a Noël, et aux vacances d’été. Toi, tu t’es plongé dans les études, et moi dans le sport. D’ailleurs c’est grâce à ça que je suis ici ! Je pratique le football, le hockey, le tennis … enfin tu vois. Et toi ? Tu dois être première de ta classe, tu l’étais déjà à cette époque ? »

Il l’a serrais contre lui pour la réchauffer. Il avait l’habitude de cette fraicheur nocturne, il sortait souvent s’aéré la tête le soir… ou encore il allait courir pour s’épuiser afin de s’endormir ! IL leva la tête pour admirer la cours du lycée, cette école était vraiment somptueuse. Ils avaient une chance inouïe d’être ici.


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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMer 27 Juil - 8:55

    C’était il y’a si longtemps, les choses c’étaient passé mais tout avais changé maintenant chacun d’eux était devenus quelqu’un et les pensées qui traversait l’esprit de Carolyn était certes bien heureuse mais aussi dans le sens contraire. Et si leur changement provoquait chez eux une incompatibilité ? Ils se connaissaient tellement qu’aujourd’hui cette connaissance pouvais si cela se trouve leurs causer bien du tord dans leurs relations. Quoi qu’au point ou elle en était elle n’avait plus qu’a attendre pour en avoir le cœur net et comme sa mère le dit toujours : « Qui ne tente rien n’a rien. » Jamais même elle n’aurait pensé reprendre une des phrases de sa super maman. Bien sûr à côté de ça, lorsque Andrew commença à discuter, Carolyn compris la détresse qu’il avait dans sa voix, et le mal qu’il avait de n’en parler que maintenant. Pendant tout son discours elle avait baissé les yeux écoutant patiemment.

    Quand ce fut au tour de Carolyn et de parler au sujet de la mère d’Andrew qu’elle connaissait bien évidemment a l’époque elle remarqua que les yeux de son ami changeais du tout au tout, il n’était plus aussi tendre que les deux minutes précédente. Alors qu’il était assis sur le banc dehors, le froid se fit ressentir, et Carolyn n’ayant a aucun moment prévu de sortir dehors n’avais pas pensé à prendre quelque chose a manche longue ou qui puisse atténuer le froid. Mais quoi de mieux que de grand bras musclé ? Et surtout ceux d’Andrew. Comme au bon vieux temps, son corps a lui était toujours chaud déjà à l’époque, il avait beau être en T-shirt en pleine hiver il était toujours brulant. Un vrai radiateur que Carolyn adorais. Même lorsqu’ils dormaient ensemble la nuit autrefois elle avait tendance à se coller à lui pour avoir plus chaud, parce que oui les parents les laissaient ce n’étaient que des enfants après tout. Au bout d’un moment il parla de mère, elle était en pleine forme. Carolyn écarquilla les yeux et écouta la suite mais cela l’a troublais comment pouvais on être en pleine forme après la perte de son mari ? Apparemment en plus elle avait un nouveau copain qu’Andrew n’aimais pas, en même temps les relations beau père – enfant n’était pas souvent les meilleures, mais peut être que le fait de voir son père remplacer était ce qui lui faisais le plus mal. Toujours dans ses bras, Carolyn répondit.


    - « Tu le connais bien ce garçon ? ça fait combien de temps qu’ils sont ensemble ? Et ta mère, elle aimait tellement ton père je ne comprends pas … »

    Chacun vivais comme il le souhaitait c’est sur, peut être la mère d’Andrew se sentait horriblement seul mais Carolyn savais très bien que si un jour elle perdait l’homme avec qui elle se mariera dans le futur, elle était sur que jamais plus elle ne referait sa vie. Le mariage était un acte beaucoup trop pur pour pouvoir faire passer quelqu’un. Pour elle c’était même après la mort, le lien qui t’unis à la personne que tu aime ne se rompt jamais. C’était peut être une enfant encore trop rêveuse mais elle avait ses croyances et elle les avait toujours eu. Andrew continua finalement il annonça a Carolyn qu’il n’était rentrée dans leurs ville natal que les vacances d’été et les noëls. Tout de suite, Carolyn compris, que même comme ça il n’était pas venus la voir.

    - « Et pourquoi tu n’es pas revenus alors ? Je n’ai déménagée qu’a 15 ans tu avais bien le temps Andrew ? tu ne m’as jamais croisé pendant ce temps ? »

    Elle posait peut être beaucoup trop de question, mais elle devait savoir, elle devait avoir les réponses a ses questions qu’elle c’était former toute ses années à attendre de le revoir un jour. Rapidement il lui annonça aussi que pendant ce temps il c’était plongé dans le sport, le football, le hockey et le tennis. Carolyn ne pu s’empêcher de sourire, elle le savait déjà petit il l’a mettait au goal pour jouer au foot, mais ce n’était qu’une fille a chaque arrivée de la balle elle s’enfuyait en courant. Mais tout ça restait de bons souvenirs pour elle et aujourd’hui ces souvenirs avais un sens puisque leurs petits jeux et son talent lui avais permis d’être ici.

    - « Ca ne m’étonne aucunement de toi, tu as toujours été un grand sportif, déjà petit tu m’obligeais à regarder le hockey a la télé avec toi sinon tu ne me parlais plus puisque tu disais qu’on n’aurait pas de sujet de conversation. Annonça-t-elle en souriant. Je suis fière de toi Andrew si tu savais, j’ai toujours su que t’y arriverais et même si je ne te voyais pas, j’étais sur que dans le niveau professionnel tu serais super. Mais à côté de ça, tu travail au moins à l’école ? »

    Quelques minutes après il continua, savoir si moi j’étais première de ma classe, qu’elle question ça se voyais bien qu’il ne l’avait pas vu depuis longtemps. Elle souriait une fois de plus, elle était tellement heureuse d’être auprès de lui, elle était blottit dans ses bras, elle sentait à peine le froid de dehors. Carolyn attrapa une des mains d’Andrew et l’a mis dans la sienne comme au bon vieux temps, sauf que certains gestes aujourd’hui qui n’avais pas d’impact autrefois avaient bien changé, ils n’étaient plus des enfants. C’était des adultes maintenant, mais même adulte Andrew rendais Carolyn complètement folle.

    - « Première de ma classe, ria t’elle. Bien sûr que oui, comme toujours et j’adore ça tu le sais très bien. Je suis pas sportive, mais en tout cas je me suis réfugier dans les bouquins ... »





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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeVen 29 Juil - 20:13


    Andrew était là, assis sur un banc de l’école en compagnie de Carolyn… cela semblait être un rêve ou je ne sais quoi ; mais pas la réalité ! Le garçon ne pensait jamais la revoir, et encore moins la retrouver ici. Non pas qu’elle ne le méritait, ce n’était pas ça … mais comme lui ne savait même pas comment il avait fait pour atterrir ici ; retrouver Caro ici aussi était une chance sur des millions ! Prêt d’elle, il se sentait rajeunir de 5 ans, d’être le jour de ses 12 ans devant son gâteau d’anniversaire avec pour seule amie invité Carolyn. Mais les choses avaient bien changé, et Andrew ne pouvait pas le nier non plus. La petit brune avait grandit, elle était devenue une femme… belle, très belle aux yeux du jeune homme. Il n’avait plus en face de lui, la petite brunette maigrelette qu’il plaçait dans les buts comme elle lui fit remarquer ou alors qu’il portait à bout de bras pour grimper dans les arbres… non elle était là, légèrement maquiller, des yeux pétillants, et surtout un sourire qui faisait craquer. Andrew se demandait se qu’il lui arrivait ; mais au fond de lui il avait toujours aimé sa meilleure amie même si il affirmait ne jamais être jaloux lorsqu’elle était en compagnie d’autre garçon.

    Andrew répondu aux questions de la jeune femme, pourtant il aimerait passer la page… son passé il n’en voulait plus, enfin ces 5 ans d’enfer. Il ne regrettait, et ne regretterait jamais ses moments passés avec Caro. Mais elle voulait des réponses, alors il lui donna :

    « Elle l’a rencontré aux alcoolique anonyme, c’est pour dire. Enfin ils se soutiennent mutuellement ; c’est ce qu’ils disent. Pour ce qui est de ne pas t’avoir donné de nouvelles, de ne pas avoir trouvé le courage de venir te voir … je n’ai pas d’excuse… j’y peux rien. S’il te plaît parlons d’autre chose… ? »

    Rien que de parler de ça, Andrew repensait à son père, aux jours heureux qu’il avait partagé avec lui … mais il était partit. Son cancer l’avait emporté en à peine 6 mois… et le petit garçon qu’il était à ce moment là ressortait à chaque fois qu’il pensait à lui. Pourtant au jour d’aujourd’hui, il devait être fière que son fils soit rentré ici grâce au football.

    Le jeune homme sourit lorsqu’elle lui rappela ce lien qu’il avait avec le sport… depuis tout petit c’était une passion, et celle-ci n’avait pas réduit, loin de là ! Et elle, elle aimait toujours ses livres. C’était dingue, rien ne change …

    « Pour ce qui est des cours … hum ; j’essaye de suivre on va dire ! Je suppose que tes notes en sport son toujours aussi basse, non ? »

    Andrew émit un petit rire. Alors que la jeune femme glissa sa main dans celle du jeune homme, il se mit à frissonner. Cette réaction était étrange, enfin pas tellement que cela… Il n’avait pas eu de vraie relations amoureuse, genre « romantique », le grand amour, quoi. Le beau brun était troublé par Carolyn ; chose qu’il n’avait pas ressentit depuis quelques mois, depuis sa rencontre avec Jersey en faite. Deux filles faisaient battre son cœur à présent … mais avec l’une d’elle il avait un passé, l’autre il ne connaissait que son prénom.

    « Et … tu as un petit ami actuellement ? »

    Cette question pouvait sembler arrivé comme un cheveux sur la soupe… mais il se sentait tellement troublé par elle, que c’était la seule question qui lui était venu à l’esprit !


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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeVen 29 Juil - 23:38

    Parfois, la vie est dure et c'est difficile de se dire qu'on en est arrivé là. Peut importe ce qui s'est passé, peut importe ce qu'on a pu traverser les choses ont à un moment fait en sorte qu'on se retrouve là où l'on en est au moment présent, ce sont nos choix, nos actes, nos performances qui nous créer notre passé. Parfois même la plus insignifiante des décisions nous mène à une chose totalement imprévue. Prenez Carolyn par exemple, venir ici elle avait failli refuser et en acceptant elle n'avait aucune idée de ce qui l'attendait et certainement pas qu'elle pensait un jour se retrouver avec Andrew. Cela lui faisait chaud au cœur, très chaud, elle avait beaucoup de mal a s'en remettre. Une chose était sur malgré l'heure elle n'était pas prête de dormir. Lorsqu'il était partit il y'a quelques années, alors que Carolyn comme souvent pleurais dans sa chambre toute seules, les volets fermer sa mère venait la voir. Longtemps Carolyn avait refusé de lui parler, longtemps elle avait eu besoin de s'y faire seul. Mais elle se rappellera toujours de ce jour ou sa mère est entrée et l'a obligé à parler, elle se rappellera toujours de sa phrase << S'il y'a une chose a laquelle tu tiens par dessus tout, n'essaye pas de l'a retenir. Si elle te revient, elle sera à toi pour toujours, mais si elle ne te revient pas c'est que dès le départ elle n'était pas à toi. >> A l'époque, cette phrase avait eu un bon impact sur la jeune fille, elle s'en était relevé que plus forte de cet abandon même si la blessure restait là et serais toujours là. En tout cas aujourd'hui, elle comprenait plus qu'autrefois cette phrase et elle espérait tellement qu'elle soit vraie parce que son cœur s'emballait déjà. Elle venait à peine de le retrouver qu'il chamboulait déjà tout dans sa tête.

    « Elle l'a rencontré aux alcooliques anonymes, c'est pour dire. Enfin ils se soutiennent mutuellement ; c'est ce qu'ils disent. Pour ce qui est de ne pas t'avoir donné de nouvelles, de ne pas avoir trouvé le courage de venir te voir ... je n'ai pas d'excuse... j'y peux rien. S'il te plaît parlons d'autre chose... ? » A sa façon de parler, Carolyn comprit de suite qu'il ne voulait plus en parler et si elle savait une chose d'Andrew c'est qu'il ne fallait pas le forcer lorsqu'il voudrait, lorsqu'il en ressentirait le besoin il viendrait de lui même se confier à elle. En tout cas, ce qu'il disait sur sa mère étonnais vraiment la jeune fille mais bon il devait avoir raison et les gens devaient bel et bien changer avec le temps. Vu qu'il ne souhaitait pas en parler. Carolyn se contenta de sourire tout en répondant.
    - Ne t'en fais pas, je comprends, on peut parler d'autre chose.

    Elle décidait même de lâcher l'affaire sur le pourquoi il n'était pas revenus, elle pensait que ressasser le passé n'était pas vraiment bon, ni pour lui, ni pour elle et surtout pas pour leurs futurs. Alors qu'ils reparlaient du sport, Caro aperçut un joli sourire sur le visage d'Andrew ce qui l'a fit sourire elle même. Il était tellement beau, il avait bien grandit c'était presque un adulte maintenant et se sourire l'a faisait tomber par terre. « Pour ce qui est des cours ... hum ; j'essaye de suivre on va dire ! Je suppose que tes notes en sport sont toujours aussi basse, non ? » Comme d'habitude quoi, au moins cela n'étonnais pas du tout Carolyn qui le connaissait son petit Andrew et lui bien sûr l'a connaissait par cœur aussi et à la fin de sa phrase Carolyn ne pu s'empêcher de rire, il savait très bien qu'elle pouvait lire tous les bouquins du monde, mais aucun d'eux n'apprenais à faire du sport et le sport c'était l'ennemie de la jeune Caro qui avait plutôt deux pieds gauche. Pauvre enfant.
    - Mais clair ! s'exclama t'elle, le sport c'est une catastrophe je ne te raconte pas. Mais si tu as besoin de quoi que ce soit pour les cours je suis là, je donne même des cours de tutorat enfin je dis ça au cas où.

    Maintenant, Carolyn tenait la main d'Andrew dans la sienne, elle était douce. Ce fut à ce moment-là qu'un petit coup de vent se fit sentir, bien sûr elle n'eut pas froid puisqu'il était collé à elle, mais elle pu s'enivrer a plein nez du parfum si doux de son partenaire. Caro ferma les yeux quelques secondes pour profiter du moment qu'elle passait, du fait qu'elle était heureuse et qu'elle ne l'avait pas été depuis longtemps. Ce qui l'a fit sortir de sa rêverie ce fut la question d'Andrew : « Et ... tu as un petit ami actuellement ? ». La phrase retentissait dans la tête de la jeune femme en boucle et encore en boucle. Elle se remettait la scène dans sa tête savoir s'il avait bel et bien demandé s'il avait quelqu'un. Finalement elle se décida de dire la vérité.
    - Et bien non, quand tu es partit je voulais te le dire j'allais le faire tu le sais t'avouer que je n'aimais pas tous ces garçons c'était juste pour que tu viennes vers moi. Je t'aimais tellement, mais tu es partit et du coup j'ai avancé, mais ça n'a jamais finis pour moi j'ai toujours disons ... Espérer, je ne sais pas. Mais bon, j'ai avancé.

    Carolyn tenta un petit sourire après cette mini-déclaration, elle était comme ça elle était franche elle n’aimait pas tourner autour du pot ça ne servais a rien. Mais quelques secondes après elle ajouta en hésitant.

    - Et ... Et toi ?
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 2 Aoû - 22:09

Andrew ne voulait plus parler du passé, même si Carolyn en faisait partie intégrante … il était difficile pour lui de reparler de cette période. A cette époque, il était heureux, il avait une famille aimante et surtout la meilleure amie du monde ; mais tout avait volé en éclat lorsque son père est décédé. Reparler du passé pour lui, c’était revivre cette annonce, celle où son père lui annonça qu’il n’avait plus que quelques jours à vivre car il était atteint d’un cancer. Comment voulez-vous réagir alors que vous n’avez que 12 ans ? Et bien … mal … surtout quand vous avez besoin de votre mère et que celle-ci vous laisse tomber aussi ! Voilà pourquoi le jeune homme ne voulait plus en parler. Carolyn comprit, enfin elle accepta de changer de sujet. Mais avant de passer à autre chose, il voulait ajouter une chose importante pour lui :

« Tu sais Carolyn, je ne veux plus parler de mon passé … mais … enfin, je veux que tu fasses partit de mon présent…et mon futur ! »

Carolyn était blottit contre lui, et sa main était venue chercher la sienne. Ce geste n’avait pas laissé indifférent Andrew… il avait sentit son corps frissonné et son cœur s’emballé. Etait-il toujours amoureux de Caro ? Et Jersey dans tout cela ? Il était perdu ; alors il lui demanda si elle avait un petit ami… sa réponse surprit le jeune homme…enfin pas tant que ça.

« Mais après toutes ses années…tu penses être toujours amoureuse de moi ? Qui sait, j’ai peut être changé en mal ? Tu n’apprécieras peut être pas le garçon que je suis devenu. »

Et si c’était vrai ? Si Carolyn n’aimait pas du tout le garçon qu’il était devenu en 5 ans ? Après tout il n’était pas très bon élève, pas studieux … juste un mordu de football ! Puis elle lui posa la même question qu’il lui avait posé quelques secondes plutôt. Il y réfléchit, puis fini par parler :

« Je ne vais pas te mentir, moi aussi j’étais amoureux de toi ; et jaloux de tous ses garçons qui te tournait autour… et puis les années ont passées, j’ai eu quelques relations mais jamais rien de sérieux. Je suis célibataire en ce moment … même si j’ai une fille …enfin je sais plus maintenant… »

Il s’arrêta, devait-il lui dire ce qu’il ressentait là ? il avait l’habitude de rien lui cacher, enfin presque. Alors il serra sa main un peu plus forte, et son bras autour de ses épaules la serra un peu plus contre lui.

« Carolyn, je ne sais plus quoi penser. Je ne sais pas ce que je ressens là à ce moment là. Je suis extrêmement heureux de te retrouver, mais aussi j’ai ce sentiment au fond de moi qui s’est réveillé… amour, amitié… je ne sais pas. Mais j’ai envie de rester là avec toi. »

Il eu un petit sourire, puis resta là à regarder la lune dans cette nuit noire.


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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 9:37

    Andrew avait un peu changé de sujet, discuter de son passé le faisait replonger dedans ce que Carolyn comprenait totalement. Pourrait-elle être un jour aussi ouverte avec quelqu'un qu'elle l'était avec lui ? Pourrait-elle un jour être aussi proche de quelqu'un qu'elle l'était avec lui ? Aujourd'hui, elle comprenait mieux tout ce qui s'était passé et surtout pourquoi cela c'était passé comme ça mais bizarrement savoir la vérité ne l'aidait pas à l'accepter. Maintenant elle pouvait mettre une explication sur des questions mais ça ne l'a forçait pas à comprendre pourquoi il avait fait ça pourquoi il ne lui en avait pas parlé. Certes cela devait être difficiles pour lui, même plus qu'elle n'y pensait, mais elle savait pertinemment que si cela avait été le contraire elle aurait couru le voir parce qu'elle avait besoin de lui. Et se dire qu'il n'était pas venu insinuais pour elle qu'il n'avait jamais eu besoin d'elle et ça lui faisait mal ; très mal. Avant de clore le sujet une bonne fois pour toute, Andrew rajouta une petite phrase, « Tu sais Carolyn, je ne veux plus parler de mon passé ... mais ... enfin, je veux que tu fasses partit de mon présent... et mon futur ! » Carolyn souriait c'est vrai que ce qu'il venait de dire lui faisait plaisir mais ça ne changeait rien au fait en même temps elle n'était pas là pour se plaindre.
    - J’aimerais bien Andrew, j’aimerais bien … Répondit t’elle simplement.

    Elle ne pouvait pas se prononcer, qui savait si elle y arriverait à rester près de lui personne ne savait ce qui allait se passer et surtout pas dans leurs situations à tous les deux qui était plus ou moins hyper compliqué. Bien heureusement Carolyn était toujours blottit contre lui, le sentir lui faisait un bien fou comme si rien n'avait changé. Il venait de lui demander si elle avait quelqu'un dans sa vie et sans même se regarder l'un et l'autre elle lui avait répondu la vérité, elle lui avait ouvert son coeur. Aussitôt, il répondit « Mais après toutes ses années... tu penses être toujours amoureuse de moi ? Qui sait, j'ai peut-être changé en mal ? Tu n'apprécieras peut-être pas le garçon que je suis devenu. » Tout en répondant, la jeune Carolyn observa la lune. Lorsqu'elle était petite elle aimait beaucoup la lune, une nuit qu'ils avaient passée tous les deux Andrew et elle, ils s'étaient amusés à regarder les étoiles et Andrew lui avait dit que si jamais un jour il était loin d'elle qu'elle regarde la lune et que de là où il serait il l'a regarderait aussi. Il prétendait que cela la ferait se sentir mieux. Pourtant, les années qui suivirent elle essaya, mais elle n'avait jamais l'impression qu'il était là à travers la lune et finalement elle s'était lassé d'essayer. Aujourd'hui c'était bien la première fois depuis longtemps qu'elle regardait la lune et là il était vraiment avec elle.
    - Amoureuse, je n'en sais rien, sûrement Annonça-t-elle. Je suis comme toi je suis perdue, toutes ses années je me suis mise dans la tête que je t'aimerais toujours parce que c'était plus facile, parce que tu était le garçon que j'avais toujours aimé et aujourd'hui oui je suis amoureuse de toi et je le serais tout au long de ma vie c'est tout ce que je sais.

    Carolyn se mordit la lèvre et releva un peu la tête pour le regarder, il était là magnifique comme à l'époque. Il avait raison sur une chose et si elle n'appréciait pas le garçon qu'il était devenu ? Et s'il avait changé en mal ? En tout cas une chose n'avait pas changé, il était sa raison. Lorsqu'elle ne savait pas il lui faisait toujours se poser les bonnes questions pour savoir comment avancer. Mais elle, que lui apportait t'elle ? Rien du tout.
    - Peut être bien que tu as changé, ajouta t'elle. Peut être même que tu es l'homme le plus horrible du monde, mais je m'en fiche je t'aimerais toujours et je sais que toi l'homme que je connais n'est pas un homme mauvais. Tu as des défauts comme tout le monde, mais tu est la personne qui fait ressortir en moi le meilleur, donc tu es forcement bon pour moi.

    Elle avait essayé d'expliquer comment elle voyait les choses, mais parfois c'était tellement difficile de mettre un mot sur ce qu'on ressentait. Surtout après 5 ans. Bien sûr il lui avait posé la question elle se sentait en droit de la lui retourner et elle lui demanda elle-même s'il avait quelqu'un dans sa vie. Rapidement il lui dit la vérité à son tour comme elle avait fait quelques minutes avant. « Je ne vais pas te mentir, moi aussi j'étais amoureux de toi ; et jaloux de tous ses garçons qui te tournaient autour... et puis les années ont passées, j'ai eu quelques relations, mais jamais rien de sérieux. Je suis célibataire en ce moment ... même si j'ai une fille ...enfin je sais plus maintenant... » Il disait qu'il était amoureux d'elle à l'époque et qu'il était jaloux. Cette phrase fit sourire Carolyn s'était comme une revanche sur les événements passé que d'entendre ça. Comme se dire, on s'en fiche que la vie nous ai séparé ça ne changera jamais rien. Mais la suite de sa phrase changea toute la donne. Il annonça bien sûr qu'il avait eu quelques relations, ce qui était normal pourtant elle n'en avait pas eu, enfin pas vraiment. Enfin il n'y avait eu aucune relation sérieuse, mais elle ne devait pas le dire, comme dire à l'homme que vous aimez qu'on a jamais rien fait à 17 ans, enfin rien de sérieux ... Oh si elle avait couché avec un professeur mais était-ce sérieux ? Enfin bref, il annonça quand même qu'il était célibataire, Carolyn bloqua sa respiration, mais la suite la laissa perplexe... Il avait dit sans vraiment le dire qu'il y avait une fille, en même temps comment l'en blâmer ? Elle n'avait pas été là pendant des années. Carolyn baissa les yeux et pris un moment avant de répondre.
    - Je regrette Andrew, je comprends, tu as quelqu'un dans ta tête je comprends tout à fait, mais je ne sais pas si on y arrivera. Je regrette qu'on n'ait pas eu notre chance.

    Juste après ça, elle sentit le corps d'Andrew se colla encore plus fort contre elle et elle frissonna. Elle était tellement bien dans ses bras, lorsqu'un coup de vent passais elle sentait le parfum de l'homme qu'il était devenu. « Carolyn, je ne sais plus quoi penser. Je ne sais pas ce que je ressens là à ce moment-là. Je suis extrêmement heureux de te retrouver, mais aussi j'ai ce sentiment au fond de moi qui s'est réveillé... amour, amitié... je ne sais pas. Mais j'ai envie de rester là avec toi. » Il était perdu, exactement comme elle, mais il l'était plus qu'elle puisqu'elle savait très bien ce qu'elle voulait. Elle n'avait personne d'autre dans sa tête et même si ça faisait des années qu'ils ne s'étaient pas vue elle avait attendu ce jour depuis toujours. Elle se releva de son étreinte se posa face a lui et lui pris la main pour le regarder dans les yeux pour que son visage soit face au sien. Elle attrapa la main d'Andrew qu'elle serra fort.
    - Alors, reste là, reste avec moi. Une chose est sur Andrew, je ne te courrerais plus après c'est terminé.
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 9 Aoû - 19:57

Parfois vous attendez une chose pendant toute votre vie, et au moment où vous vous décidez à baisser les bras, celle-ci vous apparaît comme par magie. Andrew n’avais jamais retrouvé une telle amitié avec quelqu’un depuis Carolyn. D’ailleurs aucune autre fille n’était devenue une amie proche comme elle l’était. Même David, son coéquipier de football et meilleur ami depuis son arrivé ici, ne le connait pas comme Caro le connait ! Même si leurs sentiments étaient confus, l’un comme l’autre, Andrew était sure d’une chose, il voulait retrouver cette amitié … ce lien si fort qui les unissait.

Ils parlèrent encore et encore de leur sentiment ; de cette confusion qui les animés. De cette amitié, qui parfois peut basculer en amour. Andrew aimait tellement Carolyn, même après toutes ses années, qu’il ne savait pas comment faire… il avait toujours cette fille, Jersey. Alors il prit alors son courage à deux mains et lui avoua ses sentiments pour elle, mais aussi pour cette autre fille. Une brune ; une blonde ; entre les deux ; son cœur balance. Après cette confession, Caro ajouta « Je regrette Andrew, je comprends, tu as quelqu'un dans ta tête je comprends tout à fait, mais je ne sais pas si on y arrivera. Je regrette qu'on n'ait pas eu notre chance ». Sans vraiment savoir pourquoi, ni comment ; le jeune homme se tourna vers elle, ses yeux plongèrent dans ceux de la jolie brune. Il approcha son visage du sien et déposa ses lèvres sur les siennes. Elle aurait pu le repousser ; ou bien dire quelque chose mais le baiser se prolongea. Lorsqu’Andrew se retira, il regarda Carolyn un peu gêner, et finit par dire :

« Désolé, je ne sais pas ce qui m’a prit ; mais j’avais envie de le faire. Peut être que se sera l’unique, et le seul. Mais au moins je n’aurais pas de regret. »


Il ne lui mentait pas, il avait envie de le faire à cet instant précis. Du haut de ses 12 ans, il en avait tellement rêvé… embrasser Carolyn était l’un de ses vœux les plus chères. Aujourd’hui il venait de le réaliser ; seulement il était encore plus perdu. Ce baiser avait été si agréable, si doux et en même temps, on sentait la passion que l’un portait à l’autre … Devait-il oublier Jersey ? Et se lancer à fond dans une relation avec Carolyn ?

« Tu regrette ? Tu crois qu’on devrait vraiment essayer ? J’ai vraiment peur de briser notre amitié, de casser ce lien si spécial qui nous uni. »

Il saisit sa main, et se leva, suit-moi, je dois te montrer quelque chose. Ou plutôt un passage « secret » que lui seul connaissait ! En faite, il aimait s’échapper des dortoirs lorsqu’il ne trouvait pas le sommeil et se diriger par ce couloir caché. Il l’avait trouvé un soir par hasard, adossé à ce mur qui n’en était pas vraiment un ; il tomba à la renverse quand une porte s’ouvra. Parcourant ce couloir sombre, il était finalement tombé dans une pièce secrète. Apparemment personne n’y avait mit les pieds depuis des années, mais il restait quelques livres et cahier d’ancien élève. Andrew ne l’avait encore dit à personne, c’était son endroit secret, son petit coin à lui et surtout sa cachette, quand il avait besoin de souffler, ou même de pleurer.

Il entraina Carolyn avec lui, et s’arrêta devant ce fameux accès invisible.

« Tu me jure de garder le secret ? »

Il resta planter là devant elle ; attendant sa réponse avant d’agir.

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Carolyn Widding

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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMer 10 Aoû - 17:23

    Reprenons nos esprits, à ce stade de la nuit l'esprit de n'importe qui aurait été troublé par tout ce qui venait de se passer. La bibliothèque, la bousculade et tout ce qui va avec c'était vraiment une nuit bizarre. Surtout pour la petite Caro qui dès que les choses n'étaient pas prévues cela devenait un enfer même pire il n'y avait pas de mot pour d'écrire ce qu'elle ressentait de l'inconnue. Aujourd'hui c'était une bonne chose ce qui lui était arrivée elle avait retrouvé son meilleur ami. Mais comme quoi dans chaque bonne choses se cache aussi du mal et le mal pour elle c'était que du coup tous ses sentiments revenaient à la surface et tout était si dure pour elle. Elle avait mis tellement de temps pour l'oublier, elle avait tellement travaillé fort pour passer a autre chose et là il revenait la bouche en coeur et Carolyn ne pouvait que lui dire qu'elle l'aimait toujours et que même, elle l'aimerait toujours.
    Elle lui avait ouvert son coeur, elle avait eu du mal, mais pour une fois elle avait senti que c'était ce qu'il fallait faire. En même temps qu'aurait t'elle pu faire d'autres ? Continuer de faire comme si de rien n'était dès le début de leurs relations alors qu'ils viennent à peine de se retrouver ? Carolyn avait bannis les mensonges de sa vie et ça commençait maintenant même si c'était dur. C'est vrai que cela aurait été plus facile de se taire et de retrouver cette amitié intact comme autrefois, mais elle ne devait plus les choses devaient être dite. Et apparemment Andrew était d'accord puisqu'il lui avoua aussi qu'il l'avait aimé mais à aucun moment il ne mentionna qu'aujourd'hui il l'aimait encore. Certes, les choses furent difficiles à avouer, mais il l'avait fait en lui annonçant en plus qu'il avait une autre fille dans sa vie. Certes c'était mauvais pour Caro, mais elle su l'encaisser plus ou moins facilement, surtout quand il annonça qu'il était perdu avec tout ça. Carolyn resta directe avec lui et lui annonça qu'elle regrettait de ne pas avoir eu sa chance. C'est à ce moment-là qu'il se décolla d'elle et qu'il l'a regarda dans les yeux. Ce fut comme au ralentit qu'elle vit le visage d'Andrew s'approcher du sien et ses lèvres se poser sur les siennes. Ce fut comme un feu d'artifice, comme si elle avait toujours attendu ça, des papillons pleins le ventre elle était heureuse. Ce fut le meilleur baiser qu'elle n'a jamais eu et elle fit en sorte de le prolonger comme elle le put, mais elle ne pu s'empêcher de penser quand il s'arrêta qu'il fut trop court. Ensuite après ça ce fut une tout autre histoire, il s'excusa comme s'il avait fait quelques choses de mal et annonça que ce serait peut-être le seul et l'unique mais qu'il n'aurait pas de regret. Carolyn lui lança un regard noir avant de rétorquer sur le champ :
    « Tu te fiches de moi ? Tu m'embrasses juste pour ne pas avoir de regret ? Tu n'as même pas à t'excuser pour quelque chose dont on avait envie tous les deux Andrew ! Assume tes actes ça vaut mieux, pour moi, pour toi et pour les autres qui suivront. »
    Elle reprit sa respiration et baissa la tête, bien sûr elle n'avait fait que lui dire ce qu'elle pensait, elle avait aimé ce baiser, mais pour qu'il réagisse comme ça lui ? « Tu n'as pas aimé ? » demanda t'elle après avoir soufflé quelques secondes. C'était difficile pour elle, en plus en pleine nuit elle devait être hyper susceptible la nuit n'était pas la grande copine de Carolyn. Mais vu le ciel, il était encore tard, ou plutôt, il était tôt. C'est ainsi qu'il ajouta quelques minutes après alors qu'elle regardait le ciel, lui avouant qu'il avait peur de briser cette amitié, ce lien spéciale. Carolyn apporta une main à sa tête et poussa toutes les mèches de cheveux qui s'étaient éparpillé devant ses yeux à cause du vent. Elle replongea son regard dans celui d'Andrew et répondit. « Franchement ? Oui, je crois qu'on devrait essayer, mais moi je sais ce que je veux. Et notre amitié Andrew, ça fait des années qu'il n'y en a plus. On pourrait c'est vrai redevenir ami là et faire comme si rien ne c'était passé, mais ce serait difficile on avait 12 ans et maintenant on est adulte, les choses ont changé, nos sentiments on évoluer. Et puis on est plus des enfants pour voir que si ça ne va pas arrêter et rester ami combien l'ont fait avant nous ? Tu ne crois pas que ce lien spécial qui nous uni comme tu le dis, c'est l'amour ? »
    Cela paraissait cliché, elle s'en rendait compte au moins c'était le principal. Elle tentait de se remettre encore de toutes ces émotions qui l'a touchait ce soir au moment où Andrew attrapa la main de Carolyn et la leva subitement et lui chuchotant un suit moi rapide. Tentant d'aller à son allure, tenant toujours sa main, Carolyn le suivit jusqu'à un mur de l'école. Carolyn arqua un sourcil devant ce mur, certes bien peint, mais qui ne lui invoquait rien du tout. C'est à ce moment-là qu'il lui demanda de jurer qu'elle garderait le secret. Carolyn posa sur lui un regard plus qu'interrogateur avant de répondre. « Oui, je te jure de garder le secret, mais en même temps un mur ce n'est pas un secret tu sais. »
    Elle fit un sourire à son ami qui était en face d'elle histoire de lui faire comprendre que là, elle ne suivait pas du tout son délire.
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 16 Aoû - 20:52

    Comment Carolyn pouvait imaginer qu’Andrew était différent des autres ? Il n’avait pas grand-chose de romantique, ou encore d’un grand lover italien … non, il était même le plus maladroit des garçons lorsqu’il s’agissait d’amour. Entre amour et amitié, il n’y avait qu’un pas… et le jeune homme hésitait encore à le franchir. Mais il se lança, après tout pourquoi pas ? Même s’il avait espérer depuis la rentrée revoir la jolie blonde qu’il avait sauvé. Mais si c’était qu’un stupide rêve ; s’il ne l’a revoyait jamais ? Effectivement, en y pensant rapidement, il trouvait ça stupide. Alors ni une, ni deux, il franchit le cap, et embrassa Carolyn.

    Après cet instant … comment dire : surprenant & intense. Andrew commença à douter. Comme si il avait fait une chose punissable par la loi ! Mais pourtant, elle n’avait pas tord. Il en avait autant envie qu’elle ! Il hésita à la regarder, puis fini par le faire, et finit par ajouter timidement :

    « J’avoue c’est vrai. J’avais envie de le faire.»

    Bien sur le jeune homme aurait bien voulut recommencer là, tout de suite. Ma is une lueur d’une lampe torche se montra au niveau des dortoirs garçons. Andrew ne savait plus très bien l’heure qu’il était, mais il n’avait pas oublié une chose … les garçons et les filles n’avaient pas le droit de « fricoter » ! Soit disant que ça perturbe leur concentration ! Enfin ils n’avaient pas tord ! C’est à ce moment là que le jeune sportif repensa à sa petite cachette secrète… là-bas ils ne se feraient pas prendre ; et ne risquerait pas d’heure de colle !

    Devant cette fausse porte, Andrew demanda à Carolyn de garder le secret. Elle accepta ; même si elle ne comprenait pas vraiment le but. Andrew pose son index sur les lèvres de la jolie brune, puis poussa le mur. Celui-ci donnait sur un petit couloir sombre mais au bout de celui-ci une petite salle avec un vieux canapé, et une petite table… des années 80. Il se posta devant Carolyn, et fini enfin par parler.

    « Que dis-tu de mon petit endroit secret ? Ici j’échappe aux regards des surveillants, et surtout de la directrice… J’ai vu de la lumière dans un couloir du premier étage, j’ai pensé que c’était un surveillant. Alors comme je voulais continuer cette conversation avec toi… j’ai pensé qu’on pourrait la terminer ici, non ? »


    Andrew s’approcha à nouveau de Carolyn. Il posa ses deux mains sur les hanches de la demoiselle. Il était un peu plus qu’elle, alors il pencha son visage pour se rapprocher d’elle. Et avant de déposer à nouveau ses lèvres sur les siennes, il ajouta :

    « Tu as raison, j’avais, et j’ai cruellement envie de t’embrasser. »

    Il finit par s’exécuter, et embrassa à nouveau Carolyn. Ici aucune crainte d’être découvert par un surveillant, ou autre.



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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 14:37

    Ce baiser fut un des plus beaux que Carolyn pu avoir dans toutes sa vie, pourtant elle en avait eu certes, mais pas beaucoup avait été aussi vrai, très peu avait été aussi pure que celui là du moins pour elle. Après cet instant, il s'était excusé et autant vous dire que Caro l'avait mal pris pour elle ce n'était pas très gentil de la part du jeune homme de lui dire juste après qu'il avait fait ça « comme ça ». Bien sûr d'un naturel franc elle n'avait pas pu s'empêcher de dire ce dont elle pensait d'acclamer tout haut que c'était n'importe quoi et que même si lui n'avait pas aimé, en tout cas elle avait aimé, elle avait adoré. Bizarrement, pour elle il aurait réagi mal à ce qu'elle venait d'énoncer mais non, il lui répondit timidement qu'il avait eu envie de le faire bien sûr personne ne l'avait obligé. Alors qu'elle allait lui répondre, il avait attrapé la main de la jeune femme et c'était mis à courir, Carolyn n'avait rien calculé de ce qui avait bien pu se passer autour d'elle, mais elle lui faisait confiance et elle l'avait suivi les yeux fermés.

    Rapidement, ils arrivèrent devant un mur, Carolyn faisait instinctivement les gros yeux à Andrew ne comprenant pas exactement où il voulait en venir devant ce mur, joli certes, mais cela restait un mur pour elle. Andrew avait alors pris la parole pour l'a faire promettre de garder un secret et bien sûr Carolyn lui promis en même temps a qui pouvait t'elle bien allée en parler ? Et puis niveau secret c'était une tombe, sauf sous la torture c'était sûr elle dévoilait, mais pour en arriver là il fallait que ce soit un gros problème, pas une histoire de mur. Alors qu'elle allait encore parler, comme il le savait très bien puisqu'il l'a connaissait et qu'elle parlait tout le temps il posa son index sur la bouche de Carolyn qui sursauta et baissa les yeux vers l'index et regarda Andrew toute déconcerter.

    C'est là qu'Andrew poussa le mur devant les yeux écarquiller de la belle Carolyn qui n'en revenait pas de qu'elle voyait. Le mur s'ouvrit peu à peu et donna sur un couloir plutôt sombre, ou Carolyn seule ne se serait jamais aventuré ! Pas moyens. Alors qu'il allait entrer Carolyn avança quand même un peu tremblante dans ce noir totale et si en fait Andrew était devenue un tueur où on ne sait quoi. Les idées commencèrent à fuser dans la tête de la jeune femme, mais rapidement tout s'en alla lorsqu'elle découvrit la salle au fond du couloir. Une salle plutôt rétro, mais magnifique. Un vieux canapé y était posté et une table. C'était vraiment joli, Carolyn adorait et regardait partout autour d'elle complètement abasourdie de ce qu'elle venait de découvrir, là c'était un vrai secret, c'était leurs secrets. Alors qu'elle regardait partout autour d'elle, Andrew s'expliqua en demandant ce qu'elle pensait et en expliquant pourquoi il aimait être ici. Ce qui fit réagir Carolyn fut quand il annonça qu'il voulait vraiment finir leurs discussions. Elle se tourna vers lui à ce moment-là et lui lança un sourire tout en répondant.

    « Alors tout d'abord, ton endroit c'est magnifique j'adore même si un moment je me suis demandé si tu ne m'emmenais pas ici pour me tuer et me violer. Et bien sûr qu'on peut la terminer ici avec plaisir. »

    Elle lui fit de nouveau un sourire et se remit à contempler cette pièce, en même temps elle n'avait jamais vu ça et il était clair qu'elle n'aurait jamais découvert cet endroit sans Andrew. D'ailleurs elle se demanda rapidement comment il avait fait pour trouver cet endroit, alors qu'elle se tournait vers lui pour lui poser la question elle fut surprise de le voir juste derrière elle. Alors qu'elle allait ouvrir la bouche, il posa ses deux mains sur les hanches de Carolyn qui se sentit fondre sur place tandis qu'il se rapprochait dangereusement d'elle. Il pencha son visage vers une Carolyn qui ne savait plus quoi penser et ajouta qu'elle avait raison et qu'il avait cruellement envie de l'embrasser. Mot pour mot, c'était ça. Juste après cette phrase, Carolyn n'eut ni le temps d'y penser, ni le temps de rétorquer, ni le temps de faire quoi que ce soit qu'il l'embrassa à nouveau. Vous avez déjà ressentie ces petits papillons dans le ventre lorsque c'est une pure extase ? Un sentiment qu'on aimerait ressentir tout le temps ? C'est ce que ressentait Carolyn elle aurait tout donné pour que ce moment ne se finisse jamais. Emporter par ce baiser, elle le prolongea et passa ses mains derrière la nuque d'Andrew. Au bout de quelques secondes, il fallait bien qu'ils reprennent leurs esprits et ainsi elle demanda en souriant.
    « Tu es sûr de ce que tu fais Andrew ? De toute façon ça ne veut pas dire qu’on va se marier non plus. »
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Andrew P.Jefferson
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MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeMar 30 Aoû - 14:28

    St Lawrence était une école à la fois très réputé, mais aussi très secrète. Peu ou pratiquement personne ne connaissait la directrice ; elle était une personne assez discrètement mais aussi très axé sur les règles. Et qui plus est lorsqu’elle instaurait des règles, les élèves chanceux qui étudiaient ici devaient s’y plier. L’année dernière c’était différent ; garçon et fille partageait les cours, les activités, …mais cette année c’était différent. Andrew adorait la compagnie de ses collègues footballeurs, mais la touche de féminité intellectuelle manquait à la salle de classe. Carolyn était brillante, et doué, elle aurait remonté le niveau de sa classe sans problème ! Mais les règles sont les règles, les garçons d’un coté, les filles de l’autre.

    Ce soir, Andrew comme Carolyn, bravait les interdits. Si quelqu’un les voyait, et surtout s’il s’apercevait qu’ils fricotaient ensemble ce serait l’hécatombe. Alors le jeune homme avait eu une idée ; l’emmener dans ici. St Lawrence devait gorger de cachette secrète comme celle-ci ! Après tout ce bâtiment devait avoir des centaines d’années ! Mais celle-ci c’était la sienne, et celle de Carolyn à présent ! Il sourit, et se mit même à rire quand celle-ci lui avoua qu’elle croyait qu’il l’avait emmené ici pour la violer, ou encore la tuer.

    « Tu as vraiment une imagination débordante, Caro. Arrête les films d’horreurs ! »


    Il s’approcha d’elle, et l’enlaça à nouveau. Là maintenant il ne pensait plus à rien, aux jours à venir… non il était avec son ancienne meilleure amie en phase de devenir sa petite amie. Après l’échange d’un second baiser, celle-ci lui demanda s’il savait ce qu’il faisait.

    « Carpediem Caro, Carpediem. Vivons le jour présent comme le dernier. »

    Ici dans cette pièce seulement assez grand pour 2ou 3 personnes ; Andrew se trouvait face à Carolyn. Son passé, son présent et pourquoi pas son futur. Il ne savait pas si cela fonctionnerait entre eux ; mais peut importe du moment qu’ils partagent des instants inoubliables.

    Andrew alla s’affaler sur le sofa âgé d’une trentaine d’année, d’ailleurs un peu de poussière s’évacua du mobilier. Il fit signe à la jolie brune de venir s’assoir prêt de lui et ajouta :

    « Désolé j’ai pas eu le temps de faire le ménage ; je ne pensais pas avoir d’invité ! »


    Il se mit à rire, puis observa la fille qu’il venait d’embrasser. Il ne regrettait pas son geste, ni dans la situation dans laquelle il venait de se lancer. Après tout, pourquoi attendre une inconnue ? Alors que quelque chose de mieux l’attend ? Peut être, peut être pas …

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Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] _
MessageSujet: Re: Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ]   Et c'est parfois trop dur de discerner l'amour, mon ami mon amant mon amour [ Andrew ] Icon_minitimeLun 19 Sep - 8:44

    Cette école, une école si normale pour Carolyn. Au début elle n’avais pas été emballer plus que ça du fait d’être inciter a rentrer par ici pour elle Harvard ou Princeton lui aurait convenue tout à fait mais cela ravissait ses parents qu’elle soit accepter dans une école où elle n’avait même pas postuler pour eux c’était forcement un signe du destin elle devait y aller. Et ainsi écoutant toujours papa et maman elle était arrivée ici cette année pour la première fois ce qui signifiais qu’elle n’avait jamais connue les règles des années précédentes et puis elle ne s’y était jamais intéresser non plus elle s’en fichais, que se soit mixe ou pas Carolyn avait toujours fait ce qu’elle voulait et ce n’était pas aujourd’hui que cela risquais de changer quoi qu’elle ne mesurais pas les conséquences de ses actes parfois comme de ce lui là, celui d’être en cachette avec un garçon et de faire des câlins.

    Au moins une chose qu’elle appréciait dans le fait d’être revenus ici grâce à ça elle avait retrouvé son ami d’enfance, son amour d’enfance. Cet homme qui avait été tellement important a ses yeux autrefois, ce garçon pour qui elle aurait tout donné, celui qu’elle n’avait jamais oublié et comme par magie elle l’avait retrouvé ici il était près d’elle maintenant et même si elle venait à peine de le retrouver pour elle c’était amplement suffisant pour savoir que tout était comme avant qu’il ne l’a laisse, comme avant qu’il ne l’abandonne. Ca avait été dure pour elle, elle avait beau continuer sa vie elle y avait pensé tellement souvent a ce garçon et aujourd’hui il était là et il riait avec elle comme avant.


    « Les films d’horreur ! Tu rigole ou quoi ? S’exclama-t-elle. Ca fait bien longtemps que j’ai arrêté je suis trop trouillarde pour ça et c’est de ta faute tu n’avais qu’à pas me faire regarder l’exorciste alors que j’avais 8 ans ! »

    Elle fit un sourire a l’homme qui se trouvait en face d’elle, puisque oui maintenant c’était un homme ce n’était plus ce petit garçon d’autre fois avec qui elle faisait des bêtises. Au début de leurs retrouvailles, Andrew avait été réticent pour tout ça, l’amour de Carolyn qui datait et tout le reste mais finalement alors que Caro avait lâché prise comme par magie il s’était rendu compte que pourquoi pas après tout. Après l’avoir embrassé de nouveau et rendu Carolyn toute folle, elle lui demanda aussitôt s’il savait ce qu’il faisait mais immédiatement il lui répondit de vivre le moment présent tout en l’a lâchant. Carolyn souffla et se contenta de lui sourire ne sachant que répondre, elle n’aimait pas ce genre de chose quand ce n’était pas planifier, quand elle n’était pas sur mais si c’était le seul moyen de garder Andrew elle laissa faire les choses et se tu.

    Carolyn regarda un peu autour d’elle cette petite pièce très magnifique et très douillette pourtant c’était plein de poussières et tout ça mais bon, Carolyn faisait abstraction. Pourtant quand on voyait Carolyn on ne se doutait pas que ce genre de fille avec ses talons pourrait rester dans un endroit pareil, elle était un peu chochotte mais pas au point de certaines fille bizarre qui était horriblement énervante. Elle regarda Andrew se poser sur le canapé qui dégagea plein de poussière alors qu’il s’asseyait et il fit signe a la demoiselle de venir près de lui. Il annonça qu’il n’avait pas eu le temps de faire le ménage ce qui fit rire la jeune Carolyn. Elle s’avança alors vers lui et s’asseya doucement auprès d’Andrew. Elle regarda autour d’elle, et posa ses mains sur ses genoux.


    « C’est quand même joli ici, malgré la poussière ne t’en fait pas. C’est vrai que ce n’est pas vachement romantique mais ça fait 10 ans que j’attends ça alors la poussière ne m’inquiète pas. »

    Elle souffla une nouvelle fois et tourna sa tête vers lui, il était tellement semblable a ce qu’il était autrefois, elle avait l’impression qu’ils n’avaient pas changé ni l’un ni l’autre qu’ils étaient grand maintenant c’est tout. Mais être grand n’était pas forcement la bonne solution.

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